Les brisures de ces hommes
Tenez donc mon poignard
Bande de pourritures
En vos âmes ignares
Entamant mes blessures
L’un ou l’autre se vaut
En sans-coeur d’envergure
Cassant les idéaux
Dans leurs sombres fissures
Sans regrets et remords
Et sans littératures
Ils ont brisé mon corps
Sans aucune soudure…
Valérie S. (Art & Poèmes)
Les brisures de ces hommes,